La question de la valorisation et du prix de vente est certainement la question qui se pose de manière prioritaire dans un processus de selection de reprise d'entreprise. L'approche de la valorisation d'une entreprise dépend d'un certain nombre de critères faisant l'objet d'une analyse approfondie.

Une reprise d'entreprise sous-entend le plus souvent une modification structurelle au sein de l'entreprise reprise, en terme de management. Il semble important de pouvoir démontrer et de chiffrer précisément quels impacts concréts, en termes de previsionnels d'activité, ces changements aauront sur l'entreprise reprise et de démontrer ce qu'apporte un repreneur.

Le montage juridique d'un projet de reprise est essentiel afin de repondre et d'anticiper plusieurs sous-jacents propres à chaque projet de reprise. La fiscalité ainsi que la surface patrimoniale du repreneur, le perimètre de la reprise (s'agit-il d'une opération de croissance externe ou de transmission familiale d'une PME) sont autant de facteurs permettant de déterminer un montage juridique approprié.

L'octroi d'un financement externe par credit commercial ou autres types de fonds externes constitue un passage obligatoire dans un schema de reprise d'entreprise. En effet, l'effet levier de la dette permet une optimisation de la reprise.

Quelles sont les garanties potentiellement associées à un crédit commercial sont-elles appréhendées par les banques commerciales souhaitnant financer l'opération de reprise.

Le montant des fonds propres que le repreneur se doit de prévoir lors de la formalisation d'un plan de financement est une question essentielle. Il existe bien évidemment des généralités consistant à prévoir une quotité de fonds propres d'au minimum 30 % mais chaque projet étant particulier, cette quotité peut varier.